En 2017, un grand scandale a éclaté en France. L’association Lactalis était au centre du débat, plusieurs de ses produits avaient été infectés aux semoules. Ceci a causé des troubles gastriques à des dizaines de bébés. Le gouvernement est intervenu et comme on peut s’en douter, cela a coûté gros à l’entreprise. Aujourd’hui, les victimes ont pu oublier ce passé tragique et ont su trouver une place dans la société.
Rappel sur les victimes de Lactalis
Le drame s’est produit à la fin du mois de novembre 2017. Les autorités sanitaires sont informées du nombre très élevé de cas de salmonellose chez les bébés. Il s’agit d’une infection par la bactérie Salmonella qui implique une gastro-entérite bénigne. Chez les nouveau-nés, cela peut causer des problèmes très graves. En effet, en août de la même année, 20 enfants de moins de 6 mois sont infectés, mais sans conséquence alarmante. Ces derniers ont consommé du lait de premier âge produit par Lactalis. Il s’agissait plus précisément d’un produit destiné à remplacer le lait maternel. Le ministère de la Santé a alors instruit une enquête dans les usines de cette structure. Les résultats sont tombés le 1er décembre pour confirmer la présence de la bactérie précédemment mentionnée dans les produits.
Le 2 décembre, l’entreprise rappelle 12 lots fabriqués dans l’usine de Craon et y place un numéro vert à destination des familles concernées. Il faut noter que ce n’est que le début d’une série de rappels. Dès le 4 décembre, deux autres enquêtes sont lancées. Selon les conclusions de ces dernières, l’origine de la contamination se trouve dans la tour de séchage numéro 1 de l’usine concernée. En fin décembre, le pôle santé publique du parquet de Paris porte plainte pour « blessures involontaires » et « mise en danger de la vie d’autrui ».
Ce qu’il s’est passé par la suite
Il faut dire qu’il a fallu le mot d’ordre du gouvernement pour que les produits potentiellement contaminés ne soient plus vendus. Le 21 décembre, près de 1 345 références vont être retirées des rayons. Ce n’est que plus tard que tous les produits infantiles produits dans l’usine de Craon seront rappelés (le 11 janvier). Il faut noter que cette crise a permis de mettre la lumière sur toutes les pratiques de Lactalis qui est propriétaire de 246 sites de production dans 47 pays.
Pendant ce temps, certains enfants contaminés parvenaient déjà à transmettre la bactérie. Après plusieurs dénonciations, Emmanuel Besnier va s’engager à indemniser toutes les familles concernées. En plus, il va promettre d’arrêter la production dans 83 pays et d’éliminer plus de 12 millions de boîtes. Cependant, le gouvernement a fait appel à ce PDG pour lui faire savoir que les mesures prises sont insuffisantes. Après cette interpellation, Emmanuel Besnier opte pour la suspension de la mise en vente de 620 nouveaux lots. Toutefois, le gouvernement va décider de retirer l’ensemble des produits issus de l’usine de Craon de la circulation. Il faut reconnaître que les promesses n’étaient pas toujours respectées, car certains produits resteront dans les rayons. Toutefois, l’association des familles victimes ne lâche pas l’affaire.
Ce que sont devenues les victimes
Les premières victimes de cette crise sont les enfants et les employés de Lactalis. La plupart de ces salariés ont été considérablement sidérés par le comportement de l’entreprise, mais aussi par celui du gouvernement. Ils ont donc démissionné et certains se sont tournés vers d’autres secteurs d’activité.
Croupiers en live dans les casinos en ligne
Le marché des casinos en ligne est assez prisé de nos jours. C’est la raison pour laquelle de nombreuses victimes ont préféré le métier de croupier en live parmi les meilleurs casinos live. Il s’agit d’un secteur qui paye véritablement et qui ne demande pas de fournir assez d’efforts. De nombreuses plateformes de jeux en ligne ont réussi à embaucher les anciens employés de Lactalis et ils sont heureux de cette nouvelle vie.
Le télétravail
D’autres salariés de cette entreprise se sont plutôt tournés vers le télétravail. C’est par exemple le cas :
- des téléconseillers
- des rédacteurs web
- des commerçants en ligne, etc.
Aujourd’hui, ils vivent très bien du salaire reçu de ces différents travaux sur Internet.
Journaliste
Le journalisme est également l’un des secteurs vers lesquels ces victimes de Lactalis se sont tournées. Certains l’ont d’ailleurs fait pour continuer à dénoncer les mauvais coups de ce groupe qui n’arrive pas à tenir ses promesses. Vous retrouverez leurs articles à la télévision, à la radio, dans la presse et sur Internet.
Les séquelles qui leur restent
Il est vrai que certaines victimes de Lactalis ont réussi à surpasser ce scandale, mais certaines ont encore des séquelles. Il est premièrement possible d’observer de l’anxiété chez certains parents. En effet, certains parents ont peur que leurs enfants aient des problèmes graves à la longue. Cela a créé une véritable sensation de peur et de stress. Ensuite, il y a la peur des différents produits laitiers. Après un coup pareil, certains se sont juré de ne plus jamais faire confiance à des produits laitiers issus d’une production industrielle. Cette crainte touche d’ailleurs l’ensemble des aliments chez d’autres. Ceci a considérablement changé le mode d’alimentation de certains foyers.
Vous pouvez dès lors comprendre que le scandale Lactalis a fortement marqué les esprits. Il faut toutefois noter que les victimes continuent à tenir tête à cette entreprise jusqu’à ce jour. Heureusement, la bactérie n’a pas causé de problèmes très graves aux nourrissons. Cependant, vous devez toujours faire attention lorsque vous achetez des aliments pour les tout-petits. Les productions artisanales et écoresponsables sont beaucoup plus fiables et sans dangers pour les enfants.
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